« Autrui, c’est l’autre, c’est-à-dire le moi qui n’est pas moi… » (Sartre, L’Être et le Néant, 1943, p. 285) Sartre définit autrui comme un autre, comme les autres. L’autre est celui qui est différent, que je rejette, mais il est aussi celui qui me ressemble et au contact duquel je me construis : ces deux faces de l'altérité (différence, ressemblance) ont agit à plusieurs niveaux dans l'historiographie, quels jalons en retenir au service de la pratique historienne ? |
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